Un jeu sur smartphone, des défis quotidiens, sauver la planète : ce sont les trois ingrédients de Ma Petite Planète. En un peu plus de deux ans, Ma Petite Planète a rassemblé près de 70.000 joueurs et donne ainsi un peu plus de sens au « gaming ». Clément Debosque, l’un des trois cofondateurs, veut massifier l’engagement de toutes et tous au service de la planète, avec « l’idée que tous ensemble nous validons 950.000 défis pour la planète, et que ce chiffre progresse de façon exponentielle ».
De façon pratique, Ma Petite Planète se présente sous forme de “ligues”, à destination du grand public, des enseignants ou des entreprises. Pendant trois semaines, une soixantaine de défis sont à réaliser, certains simples, d’autres plus engageants.
« Comment motiver les gens ? »
Clément Debosque et ceux qui l’entourent veulent prendre leur part dans la préservation de la planète. « Nous pensons qu’il faut une mobilisation massive autour du climat et de la biodiversité. L’association a été créée il y a deux ans, avec la volonté de faire « vivre un maximum de challenges autour de défis écologiques avec son entourage ». Si l’aspect ludique est central, la mission est claire pour l’équipe de Ma Petite Planète : « Sensibiliser et faire passer à l’action un maximum de personnes ».
Objectif : dépasser les frontières
L’application est gratuite pour le grand public, pour ne « pas mettre de barrière à l’entrée ». Mais pour financer l’association et l’application, Ma Petite Planète a travaillé avec des entreprises pour y déployer des ligues personnalisées et créer un team building autour du climat avec une approche spécifique à l’entreprise », détaille Clément Debosque.
Ma Petite Planète ambitionne à présent de devenir « le challenge leader européen traduit en anglais, allemand et espagnol, avec de plus en plus de ligues à l’étranger », convaincu que la transition écologique doit forcément dépasser les frontières pour préserver notre (petite) planète Terre.
Le prochain challenge global commence le 30 mai prochain. Inscriptions, par ici.