En Algérie aussi, l’économie sociale et solidaire noue des partenariats public-privé : créé en 2004 par des associations algériennes de défense des droits de l’enfant, le réseau Nada regroupe aujourd’hui 150 associations socioculturelles algériennes. Actions de prévention contre le travail des enfants, programmes d’accompagnement des enfants et des familles, création d’un foyer à Alger pour accueillir plus de 200 enfants en difficulté… la tâche est lourde !
L’appui des pouvoirs publics et l’obtention de financements privés sont tout aussi indispensables l’un que l’autre pour la conduite de ces missions. « Nous travaillons avec l’Union européenne, l’Unicef, les ONG Solidarité internationale ou Equitas (…) mais aussi avec des entreprises publiques et privées algériennes », explique Roza Mansouri, responsable communication du Réseau Nada, dans cette interview vidéo accordée à Mediatico à l’occasion d’un déplacement à Alger.
Des financements toutefois insuffisants au regard des besoins, qui l’incite à lancer un appel, en fin de vidéo, à la communauté algérienne de par le monde et à tous les donateurs désireux de soutenir les actions du Réseau Nada en Algérie.
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